Décider d’être heureux

Être proactif, vouloir le devenir, c’est décider d’être heureux.
C’est décider de prendre son destin en main plutôt que s’en remettre à lui.
C’est décider d’entreprendre des actions – plus ou moins importantes, plus ou moins conséquentes, à plus ou moins long terme – qui nous engagent.
C’est faire le choix d’être responsable de ses actions et de leurs conséquences.
Bref, vouloir être heureux, ça se décide et ça se vit au quotidien : c’est le premier pas qui coûte.

 Tu ne peux voyager sur un chemin sans être toi-même le chemin. Bouddha

Devenir proactif, c’est acquérir et développer de nombreuses qualités car il s’agit de savoir Penser juste et Agir au bon moment.

Être proactif – en tant que verbe d’état – réclame donc d’être conscient de soi, d’être autonome, courageux, patient, compétent, responsable de ses choix / ses actes et toutes leurs conséquences, mais aussi être créatif, audacieux, se sentir libre (assumer sa liberté de penser, de faire…), être indépendant, interdépendant, être aimant envers soi-même, aimable envers autrui (liste non exhaustive) ;

Être proactif – en tant que verbe d’action – nous incite à incarner ces qualités, ce qui nécessite à nouveau courage, sens des responsabilités, audace, autonomie, esprit de décision, passage à l’action, etc.

 

Être conscient de soi

Devenir proactif implique un mouvement de l’intérieur (de soi) vers l’extérieur. Ce nouveau mode de fonctionnement est lié au changement de paradigme (Être –> Avoir –> Faire) qui demande un positionnement personnel par rapport aux trois questions essentielles :
– Qui suis-je ?
– Qu’est-ce que je veux Avoir ?
– Qu’est-ce que je dois Faire ? (Et Comment ?)

Nous ne pouvons agir sur le monde de façon juste que si nous sommes bien avec nous-mêmes, car notre état d’être va se répercuter dans toutes nos communications – verbales et non verbales – et dans toutes nos actions.
Si nous sonnons creux ou vivons une mauvaise relation avec nous-mêmes, nous ne transmettons que du vide ou du « mauvais » autour de nous.
Par ailleurs, ce questionnement n’est jamais fini car nous changeons en permanence, seul le changement est permanent.

Partir de Qui nous sommes implique de descendre profondément en soi pour trouver de  nouvelles solutions aux anciens problèmes. C’est d’abord une victoire intérieure sur soi-même pour espérer gagner à l’extérieur.

 

Gagner en force intérieure

Savoir remplir nos réservoirs d’énergie, disposer de toutes nos ressources intérieures et cultiver nos ressources extérieures, nous permet de gagner en force intérieure et en puissance d’action afin d’atteindre nos objectifs, tel un faisceau laser, et réussir notre vie.

D’où l’importance de disposer d’outils et techniques pour savoir combler nos besoins et, au delà du minimum vital, pouvoir réussir notre vie grâce à une pensée juste et à une action ciblée. Entre la survie et la « belle » vie, il y a des attitudes et des comportements à adopter, proactifs bien sûr, qui nous permettent de répondre aux impératifs que suscite la crise. Pour bâtir un monde meilleur, non pas utopiste mais construit à notre (nouvelle) image. (voir les Formations)

La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber.
Tom Hanks (in Forrest Gump)

Ce travail sur soi (sur notre état d’être, sur la définition de nos désirs, sur nos façons de faire) est exigeant et réclame souplesse, ouverture d’esprit, patience, écoute et amour de soi… Quelques-unes des qualités enfouies au fond de nous, que nous avons oubliées, et qu’il est temps d’exhumer.

In fine, il s’agit de cultiver notre part de lumière et non tenter de dissoudre nos parts obscures. Il s’agit d’accepter toutes les facettes de notre être avec toutes ses couleurs ternes et chatoyantes, sans jugement aucun ni pour soi-même ni pour autrui.

Le commencement est beaucoup plus que la moitié de l’objectif.
Aristote

 

Décider d’agir – ou pas – plutôt que d’être agit

 

Prendre la responsabilité de sa vie

 

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