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Vous voulez contribuer à changer le monde ? …Moi aussi !

Vous voulez contribuer à changer le monde ! Enfin, vous aimeriez bien…

Pour écouter l’article, cliquez sur ce lien –> Audio-Blog-Vous-voulez-changer-le-monde

 

Changer le monde deux mains1 Vous voulez vivre de grands rêves, incarner de grands projets mais vous ne voyez pas comment les réaliser. Zut alors. (« M… alors » – le mot de Cambronne –  aurait été plus approprié mais vous êtes là, je surveille mon langage).

Pourtant, vous vous projettez bien en situation de réussite présentement. Vous vous visualisez bien, plus tard, en train de vous dire – un pied dans la tombe – « yes, j’ai réussis ma vie ! » Parce que tout ce que vous aurez fait est absolument fabuleux (« abs’fab ! ») et utile à la communauté humaine. Et trace la voie pour les générations futures.
Vous aimeriez bien pouvoir vous dire : « oui, j’ai fait mon devoir, je peux partir en paix ». (attention : pas par devoir moral, par devoir existentiel)

Il ne t’est jamais donné un désir sans que te soit donné le pouvoir de le rendre réalité.
Tu peux être obligé néanmoins de peiner pour cela.
Richard Bach

Seulement voilà, vous rêvez-vous rêvez et votre vie avance à vitesse d’escargot. Vous réalisez des objectifs, certes, et dont vous pouvez être fier, mais cela ne présente rien de bouleversant pour le commun des mortels. Cela semble même n’intéresser personne, ou si peu… donc présente peu d’utilité.

Votre imagination se débride toujours avec facilité et voit grand (c’est même ce qu’elle fait de mieux, quand elle ne vous emmène pas dans les abîmes de l’angoisse). Dans le même temps, vos neurones continuent leur train-train habituel d’influx nerveux et les circuits neuronaux leurs autoroutes tracées depuis des décennies. Vos habitudes sont lourdes à bouger.

 

Les énergies de tous vos corps rechignent à soutenir vos ambitions

Energie chakras2 l’énergie physique n’est pas au rendez-vous : vous vous traînez dès le matin ;

– l’énergie émotionnelle freine des quatre fers ; vous voyez surtout la peur tellement elle se grandit ;

l’énergie psychique, l’intellect, ne peut même pas concevoir le chemin pour y aller ;

l’énergie spirituelle – la foi qui vous porte, sinon les anges – se fait désirer, elle aussi (surtout quand vous l’appelez de tous vos vœux) (vous êtes à peine de mauvaise foi, que le Ciel vous pardonne – j’vous taquine) ;
l’énergie organisationnelle – votre environnement de vie et de travail – se gère plus ou moins bien ;

et l’énergie relationnelle… les personnes qui gravitent dans votre vie en cercles concentriques plus ou moins étendus, vous y avez fait le ménage ; oups ‘reste plus grand monde autour de vous, mais ça laisse de la place pour de nouvelles énergies interpersonnelles. Aux grands maux, les grands remèdes !

Parfois, la pensée vous traverse de vous trouver un job pépère, gagner un salaire mensuel régulier – comme la plupart des gens normaux – et d’avoir un cercle habituel à fréquenter le week-end – comme la plupart des gens normaux

Ce n’est pas un signe de bonne santé d’être bien adapté à une société profondément malade.
Krishnamurti

Non !

Non, ne pas se résigner à rester au ras des pâquerettes. Vous voulez vivre, et bien vivre. Vous voulez briller, briller tellement que votre lumière éclaire le monde ! (voilà, c’est dit. Vous comprenez maintenant pourquoi tous vos corps résistent).

Pour l’heure, vous restez collé au sol, écrasé par la pesanteur, et vous peinez à trouver votre souffle, celui qui vous portera sur les cimes de votre réussite. Du coup, l’abattement vous submerge. Vous êtes triste et démotivé avant même d’avoir entrepris la moindre action grandiose.

Pourtant vous savez que vous en êtes capable, comme tout être humain doué d’intelligence, d’une bonne santé physique et émotionnelle. Vous savez que vous devez être capable de réaliser votre vision comme tous ceux qui réussissent déjà. Après tout, eux et vous êtes faits dans le même moule, non ? Vous êtes issus de la même source, alors pourquoi eux et pas vous ?!

Qu’est-ce qu’il vous manque ? (« mot de Cambronne » bis repetita)

 

L’homme devient souvent ce qu’il croit être. Si je continue à me dire que je ne peux pas faire une certaine chose, il est possible que je puisse finir par devenir vraiment incapable de la faire. Au contraire, si j’ai la conviction que je peux la faire, je vais sûrement acquérir la capacité de la faire, même si je ne peux pas l’avoir dès le début. Mahatma Gandhi

 

Un article que j’ai écrit sur mon blog – avec force conviction – vous revient en mémoire : « Des objectifs à partir de l’Être ou de l’Avoir ? » Et vous le relisez avec attention. (Richard Bach a dit qu’on enseigne le mieux ce qu’on a le plus besoin d’apprendre… je constate que cela se vérifie).

Vous êtes un être humain tout à fait capable de réaliser ce que vous décidez vraiment de réaliser. Vous contenez la vie en vous, qui vous traverse, vous soutient, vous anime. Alors, qu’est-ce qui vous arrête ?

 

Vos croyances !

Croyance limitante1 Oui, ce sont vos croyances limitantes, surtout les sournoises, celles que vous ne voyez pas, celles qui prétendent vous « protéger » parce que les « risques » que vous voudriez prendre vous sortiraient de votre zone de confort et que vous avez peur de l’inconnu ! Ou plutôt, votre ego a peur de l’inconnu.  Pas Vous. Not you. Vous saisissez la différence ?

Alors vous mettez l’ego de côté, tel un singe facétieux que vous attachez à son pieu (je n’ai pas dit « empaler le singe ». La culpabilité vous figerait sur place et, de toute façon, un autre singe vengeur apparaîtrait, parce qu’on ne peut jamais se débarrasser de cet encombrant compagnon de voyage). Vous caressez votre singe facétieux dans le sens du poil, vous l’acceptez tel qu’il est, vous lui parlez gentiment (acceptation totale) ET vous le mettez de côté. Ainsi la voie se dégage.

Maintenant que vous avez neutralisé votre ego, qu’êtes-vous censé faire ?

La responsabilité de votre progression vous apparaît dans toute sa splendeur. Vous ne pouvez plus invoquer cet ego qui vous barrait la route. C’est vrai que c’est facile de se laisser entraver quand on n’a pas vraiment envie d’avancer, ou de se laisser importuner / déranger par autrui qui nous retire ainsi la responsabilité de notre progression… « Après tout, c’est de la faute des autres si je ne peux pas faire c’que j’ai envie de faire, faut qu’je sois partout en même temps ! » (soit dit en passant, quelques techniques de Gestion de soi proactive sont les bienvenues à ce stade)

Donc, vous décidez d’assumer

Oui, vous êtes aux commandes de votre vie, oui c’est votre tête pensante qui choisit vos buts avec bon sens et joie. C’est vous et personne d’autre qui êtes responsable de votre bonheur – et de votre malheur (houuuu, c’est dur à admettre ça).

Être proactif Energie LumièreVous acceptez aussi que vous puissiez être lumineux(se). Et réussir

Oui, vous acceptez de croire cette idée-là, de la faire vôtre.

Vous vous rappelez ce texte magnifique de Marianne Williamson « Notre peur la plus profonde« , repris par Nelson Mandela, et que vous trouvez tellement lumineux ! Ce texte vous bouleverse tant qu’il y a forcément du vrai, que votre cœur et votre âme reconnaissent, et qu’ils vous font savoir dans leur langage. (« Our deepest fear… » – « Notre plus grande peur…. » Pour écouter l’audio de son texte – en français et en anglais – cliquez ici –> Audio-Blog-Notre-plus-grande-peur-Marianne-Williamson)

 

Après ces détours pour contourner votre censure personnelle

vous décidez – comme vous l’avez fait ce matin après deux heures de cafard venu de nulle part – que vous allez avancer coûte que coûte.

Même si la vie n’a pas de sens, qu’est-ce qui nous empêche de lui en inventer un ? Lewis Caroll

Vous allez commencer par un pas

Même tout petit, aujourd’hui-même, celui qui sert votre vision. Oui, vous allez agir dans ce sens, même si vous ne savez pas si vous allez aboutir, même si vous ne savez pas si cela aura du sens pour autrui, même si vous avancez en aveugle et sans aucune garantie de réussite.

Parce que la seule certitude, la conviction profonde qui vous habite, va bien au-delà de l’ego. Une conviction qui vous fait dire que si vous ne réalisez pas ce que vous ressentez tripalement – dans vos tripes – vous serez passé à côté de vous-même.

Alors vous vous reprenez

Vous vous motivez – une fois de plus – et vous poursuivez ce que vous vous êtes engagé à faire… pour contribuer à aider, soutenir, éclairer ceux qui doutent, ceux qui ont peur, ceux qui aimeraient bien y « arriver » mais qui ne savent pas où ni comment. Vous aimeriez nous rappeler, nous convaincre – vous le premier, vous la première qui doutez tous les jours – que nous sommes puissants au delà de tout ce que nous pouvons imaginer. Et que nous sommes rouillés, sclérosés, endormis.

Parce que nous sommes capables de sortir de notre torpeur, nous sommes tous capables d’atteindre des objectifs ambitieux, nous sommes câblés pour concrétiser dans la matière ce qui nous anime et nous dépasse rationnellement. Nous sommes soutenus par la vie qui circule dans la moindre de nos cellules.

Et qu’il n’y a pas d’âge pour bien faire.

 

La chose importante à garder en tête est qu’il ne faut jamais attendre une minute pour commencer à changer le monde. » Anne Frank

 

Voilà. Vous avez apporté votre goutte d’eau à ce vaste océan humain, poussière assoiffée d’amour, de vérité et de joie que vous êtes parmi nous.

Vous êtes animé par cette flamme qui nous est commune, universelle, unique.

 

Changer le monde Doigt1 Moi aussi je veux changer le monde !

Enfin, j’aimerais bien… alors : 

  • Quel tout petit pas vais-je faire aujourd’hui pour me rapprocher de ma véritable nature, de mes vraies envies qui ne demandent qu’à émerger ?
  • Quelle Année vais-je me créer qui soit digne de mes idéaux, de mes rêves ?
  • Quelle « vraie vie » vais-je vivre vraiment ?
  • quels plaisirs authentiques vais-je m’accorder, ceux qui me font vibrer ?
  • Quelle idée me traverse là tout de suite ? (et où j’entends la phrase traitresse :  » non, ce n’est pas raisonnable, non pas possible »…) (c’est justement là qu’il me faut creuser)
  • quel grand désir me fait peur ? Là où est ma plus grande peur, là est aussi ma plus grande source de joie (lorsque j’aurai traversé la peur).

Sois le changement que tu veux voir dans le monde.
Be the change that you want to see in the world.
Mahatma Gandhi

 

Alors, nous décidons tous de contribuer à changer le monde ? Chiche ?

 

 

Je vous souhaite le meilleur :-)

Être proactif Nathalie Decottegnie Portrait blog1Nathalie Decottégnie

Experte ès Proactivité

Consultante, Formatrice,
Conférencière, Auteure

Ouvrage : « A Quoi  pense  une Professionnelle de la Formation en train d’animer un Stage ?«
Pour écouter l’article, cliquez sur ce lien –> Audio-Blog-Vous-voulez-changer-le-monde

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